… qui proposent des regards croisés sur le quartier du Sanitas aujourd’hui Son architecture, ses couleurs, sa poésie, ses rythmes, ses ombres et ses reflets, ses sourires et bien d’autres choses encore. Tout ce que chacun peut y voir, en prenant un peu le temps de regarder, sans a priori. Le Sanitas est une histoire collective pour Tours mais il est aussi une histoire individuelle pour des milliers de Tourangeaux qui vivent dans le quartier ou qui y ont vécu un temps, qui y fréquentent des proches, qui le traversent, qui le connaissent ou le fantasment. … réalisées par 112 photographes ! Chaque photo a été prise par un photographe différent. C’est le principe de notre démarche : juxtaposer, associer, croiser des sensibilités, des regards, des points de vue différents puis les tisser pour en faire un récit collectif, un récit poétique et incarné. Les photographes vivent au Sanitas, ou pas. Ils connaissent bien le quartier ou en ont une perception très parcellaire. Ils sont de tous les âges. Ils sont plutôt salés ou plutôt sucrés. Ils sont « portrait » ou « panorama ». Ils aiment l’argentique ou le Web 3.0 ou les deux. Une aventure née il y a trois ans… Octobre 2017 au « 13 », tiers-lieu culturel, social et économique du Sanitas, une discussion à l’emporte–pièce, l’envie d’un projet collectif, d’une démarche artistique exigeante, … En quelques semaines, nous clarifions nos idées, nous les habillons de mots et nous lançons des balles pour trouver les photographes qui incarneront la concrétisation possible du projet. Nous les espérons venant de partout, nourrissant la démarche de leur diversité. De 3, nous passons à 15 au printemps 2018. Nous mobilisons aussi des partenaires : la coopérative Artéfact, la ville de Tours, la DRAC et d’autres, plus tard. … une aventure coopérative. Nous choisissons d’agrandir le cercle de photographes en organisant des expositions « d’étapes » pour présenter le projet, pour inviter ceux qui le souhaitent à nous rejoindre. Entre l’été 2018 et début 2020, nous passons par la Guinguette, le centre social Pluriel(le)s, les cinémas Studio, le Foyer des Jeunes Travailleurs, le festival « zones libres », les ateliers de la Morinerie, le Petit Faucheux, le Temps Machine, le péristyle de l’Hôtel de ville, le festival « Terre du Son », l’Espace Jacques Villeret, l’épicerie sociale, « la Laverie ». Toujours avec un accueil et des rencontres formidables et de nouveaux photographes à la clé. Nous étions 60 à l’été 2019, puis 85 début 2020. 112 aujourd’hui, au Bateau Ivre, pour achever l’aventure ! Progressivement nous avons appris à travailler ensemble. Nous nous sommes réunis tous les 15 jours. A 5, à 10, à 30. Venaient ceux qui pouvaient, régulièrement ou occasionnellement. Ceux qui étaient là constituaient l’exécutif de la soirée ; celui qui choisit les photos ou qui conçoit les expositions. Un dispositif coopératif sans règlement, sans hiérarchie mais avec quelques principes qui se sont imposés de manière tacite : l’écoute et l’attention mutuelles, le sourire, ne rien s’interdire a priori, traiter les idées folles avec sérieux, mettre de la folie dans les choses sérieuses, apprendre les uns des autres, … C’est le collectif qui a porté et qui a donné du sens à tout ça, … Et aujourd’hui c’est le collectif qui vous invite à partager et à débattre autour de cette exposition. Très bientôt, un livre racontera cette histoire ! Le projet « Mon Sanitas » est né il y 3 ans autour d’une idée : « Concevoir une exposition photographique sur le quartier du Sanitas à Tours ; une exposition de 100 photos, chaque photo étant prise par un photographe différent ».C’était le principe de la démarche : juxtaposer, croiser des sensibilités, des regards différents puis les tisser pour en faire un récit collectif, un récit poétique et incarné. Au-delà de l’exposition finale, présentée en octobre 2020 au Bateau Ivre présentant 112 photos à travers l’œil de 112 photographes, c’est une histoire collective qui s’est construite progressivement, une histoire coopérative : élargir le cercle des photographes, dont nous souhaitions qu’ils nourrissent la démarche de leur diversité ; une vingtaine d’expositions intermédiaires dans des lieux très différents ; la mobilisation de partenaires ; une cinquantaine de réunions ; des animations et des balades collectives dans le quartier ; des transmissions de chacun vers tous et de tous vers chacun. Nous avons voulu garder une mémoire de cette construction, de cette aventure : un livre conçu, … collectivement évidemment. Un livre pour se souvenir, pour transmettre notre petite expérience. Un beau livre pour une belle histoire. A travers cette campagne, nous souhaitons donc financer la publication du livre. Il présentera bien sûr les 112 photos du projet. Au-delà, il proposera aussi : nos questionnements et nos impulsions initiales, les outils que nous avons mobilisés pour trouver de nouveaux photographes, nos apprentissages pour structurer un fonctionnement coopératif souriant et efficace et pour garantir l’implication et l’écoute de chacun, nos rencontres formidables dans les lieux d’expositions qui nous ont accueillis, … et toutes ces choses qui ont rendu le projet possible (presque !) dans son rapport à la photographie, au quartier, au projet. Des portraits intimes et universels. Nous espérons vous proposer un « beau » livre, conçu en mobilisant des professionnels. Un livre agréable à parcourir mais aussi un livre utile : mémoire de la démarche, mémoire d’un fragment de l’histoire de ce quartier, témoin d’une démarche qui pourrait être reproduite ailleurs peut-être, … Un livre qui a vocation à alimenter des projets à venir ! Le livre sera de 160 pages, dont 112 de photos. Il sera imprimé en format 180X225. Sa conception et sa réalisation sont rendues possibles par le travail professionnel bénévole de graphiste de Vincent Lever ; la sélection et la retouche photo de Sophie Pécresse ; l’écriture et la collecte de parole de photographes de Thierry Dubus, Bernadette Coqueret et Alain Barthot. La vocation de cette campagne est de célébrer la fin d’une étape pour la formidable aventure humaine qu’est Mon Sanitas et de restituer son récit aux habitants. C’est pour cette raison que nous faisons le choix de rendre disponible, pour tout exemplaire financé, un exemplaire offert à une structure locale qui pourra s’en servir comme objet de médiation. Centres sociaux, bibliothèques, ehpad, cinéma local… ils nous ont ont soutenu ou ont contribué au projet d’une manière ou d’une autre, nous leur transmettons ainsi cette mémoire pour les remercier et afin qu’ils puissent en être les relais. De plus, chaque personne ayant participé au projet pourra disposer d’un exemplaire, même s’il ou elle n’a pas nécessairement les moyens financiers de se le procurer. Pour cette campagne, nous avons défini un premier palier à 4 500 €. S’il est atteint, nous pourrons : Si nous atteignons le second palier à 6 000 €, nous pourrons voir les choses en grand et : Les différentes contreparties de cette campagne (livre, tirages photos,…) seront à récupérer au tiers-lieu de proximité « Le 13 » situé au 13 place Neuve à Tours. Si vous souhaitez contribuer sans pouvoir vous déplacer, contactez-nous, nous trouverons forcément une solution 😉 Les contreparties (dont le livre) devraient être disponibles pour les fêtes de fin d’année. Pour toute question, demande ou encouragement, vous pouvez nous contacter par mail à : le13passerelles@gmail.com ouUne exposition photographique,
une histoire collective de trois années
Pour le récit de nos aventures, un livre.
Pour un livre, une campagne de financement pour l’éditer.
Une campagne de financement participative chez HelloAsso
Le projet « Mon Sanitas »
Le livre pour célébrer trois ans d’aventure
Un récit illustré de notre aventure :
Un portrait de chaque photographe
un « beau » livre
Un livre financé, un livre offert
Les seuils de financement
/!\ Récupération des contreparties
Besoin de nous contacter ?
bien par téléphone au 06 28 73 75 83.
About The Author
Sophie Pecresse